Cher Paul,
Depuis deux jours, j'ai mal à ma tête. Je commence à chercher les causes. Je sais bien que tout est dans mon âme. Tout d'abord, j'éprouve de la nostalgie après toi. Je me souviens des moments, quand nous sommes restés au lit, je t'ai touché, je t'ai caressé. Une semaine. Une semaine ! Et je plonge dans cette histoire incroyable. Tout le temps, je m'attache aux réflexions du passé. Je te dis que je suis si près cela, tu l'ignores. Je reste tellement seul ici, 350 km entre nous...
Ensuite, je commence à comprendre que je ne pourrai pas finir ce semestre. Je sais que je ne suis pas capable de passer l'examen d'orthographe française, je continue à faire trop d'erreurs. Et l'examen de lecture sera particulièrement difficile. Et aussi beaucoup d'autres examens, c'est au-delà de moi, je suis à bout de forces. J'en ai marre avec le français à l'université.
Finalement, je rêve de Cracovie. D'Asia, de Martinus et de Kamil avec Lena... De ces jardins, ces vieux murs, de l'ambiance de cette cité... La distance entre nous ne serait pas si longue...
Le froid, l'angoisse, le désir, l'irritation, je suis si épuisé. Je suis quelque chose comme cela que l'on ressent à la journée glacial avant de boire une tasse de chocolat chaud. Mais, hélas, il n'y a pas de chocolat.
Bises,
Sébastien
Depuis deux jours, j'ai mal à ma tête. Je commence à chercher les causes. Je sais bien que tout est dans mon âme. Tout d'abord, j'éprouve de la nostalgie après toi. Je me souviens des moments, quand nous sommes restés au lit, je t'ai touché, je t'ai caressé. Une semaine. Une semaine ! Et je plonge dans cette histoire incroyable. Tout le temps, je m'attache aux réflexions du passé. Je te dis que je suis si près cela, tu l'ignores. Je reste tellement seul ici, 350 km entre nous...
Ensuite, je commence à comprendre que je ne pourrai pas finir ce semestre. Je sais que je ne suis pas capable de passer l'examen d'orthographe française, je continue à faire trop d'erreurs. Et l'examen de lecture sera particulièrement difficile. Et aussi beaucoup d'autres examens, c'est au-delà de moi, je suis à bout de forces. J'en ai marre avec le français à l'université.
Finalement, je rêve de Cracovie. D'Asia, de Martinus et de Kamil avec Lena... De ces jardins, ces vieux murs, de l'ambiance de cette cité... La distance entre nous ne serait pas si longue...
Le froid, l'angoisse, le désir, l'irritation, je suis si épuisé. Je suis quelque chose comme cela que l'on ressent à la journée glacial avant de boire une tasse de chocolat chaud. Mais, hélas, il n'y a pas de chocolat.
Bises,
Sébastien
Комментариев нет:
Отправить комментарий